Le 25 février, FEVICCOM a participé à la journée nationale de lutte, dans tout le pays.
Parce qu’il est nécessaire de répondre aux problèmes concrets que vivent les travailleurs de notre secteur.
Pedro Milheiro, membre du secrétariat de l’UITBB
Les droits du travail ne sont pas suspendus et les travailleurs ne sont pas seuls, et il est urgent d’inverser la dévaluation du travail et des travailleurs.
Nous battons parce que nous ne pouvons pas permettre aux employeurs de saisir une occasion pour accroître l’exploitation et l’appauvrissement des travailleurs. Nous battons, car il faut rompre avec le modèle des bas salaires et du travail précaire.
Afin de répondre aux problèmes du pays, les travailleurs doivent améliorer leurs conditions de vie et de travail, et en ce sens chacun peut compter sur notre Fédération pour la défense sans compromis des intérêts de la classe ouvrière.
LA LUTTE CONTINUE, EN DES USINES ET DANS LA RUE!